Une jolie chronique du livre Infinis à l’occasion de l’anniversaire de nos premiers pas sur la Lune. Extrait : « un livre remarquable pour les enfants qui s’intéressent aux sciences. Une première partie explique «l’infiniment grand»: l’espace, la formation des planètes de notre système solaire, la naissance des étoiles, des galaxies, de notre univers et le Big Bang. Dans la seconde partie, on parle de «l’infiniment petit» et de tout ce qui concerne l’ADN et les cellules, ainsi que les particules élémentaires qui nous composent et composent chaque chose. Ce documentaire passionnant a été écrit par la journaliste Florence Pinaud avec l’aide de chercheurs au CNRS, professeurs d’université, physiciens et astrophysiciens… »

Paris Mêmes conseille Entre deux Infinis dans son numéro de Juin 2019. C’est grand comment l’Univers? Combien d’étoiles contient une galaxie? Et inversement qu’est-ce qu’une molécule? Ou mieux, une particule élémentaire? Ce livre explore l’infiniment grand et l’infiniment petit dans toute leur merveilleuse complexité. Bourré d’informations, il est néanmoins rendu accessible par une écriture fluide et les illustrations décalées de la talentueuse Jeanne Detallante.

À l’occasion d’un dossier Trou noir, le Ptit Libé conseille Entre deux Infinis dans son coin lecture. La critique sur le site du Ptit Libé Extrait : « Si, à 10 ans, tu mesures 1,50 mètre, tu as sûrement l’impression d’être très grande ou très grand. Mais, sans vouloir te vexer, si tu te compares au Soleil ou à un astéroïde, tu es riquiqui…  (…/…) Ce livre t’explique  grâce à des comparaisons simples à comprendre («les comètes sont des sortes de boules de neige sale»), ce que sont les comètes, les satellites ou les années-lumière. Et régulièrement, il fait des parallèles avec ta taille à toi dans cette immensité. De quoi voir les choses différemment… »

Le quotidien La Croix chronique le livre algoithmes dans son numéro du16 octobre 2018 Extraits : « Destiné aux adolescents, cet ouvrage pédagogique vaut le coup d’être mis entre toutes les mains. Facile à lire, très clair, et joliment illustré, il pose les bases du monde numérique. On y apprend par exemple que les algorithmes remontent au IXe siècle, soit bien avant que l’ordinateur ne soit inventé. Ou que les métiers les plus menacés par l’automatisation sont ceux de comptable et de radiologue – en revanche, les pharmaciens et les sages-femmes ont encore de beaux jours devant eux. Ou encore qu’il existe une branche de l’université américaine de Stanford qui enseigne comment persuader l’internaute à acheter un produit via des techniques de marketing et de programmation… » L’article sur le site de La Croix